PIF : Potiron's scarf !
Ah! si j'avais eu de l'audace, ce ne serait pas cette chose que j'aurais faite pour Potiron mais un truc délirant... hélas, si Clotho est cool, elle est parfois un peu molle... et pardon pour ce vilain jeu de mots que grâce à Rolande (au secours, Rolande, mets donc un com, personne ne veut croire que tu existes), j'emprunte à Sagan, quand elle allait acheter ses cigarettes, des Kool, vous vous rappelez ?... (tu vois Rolande que je lis les bouquins que tu m'envoies, et vas-y, manifeste-toi, tout le monde va croire que je file à la poste faire la queue pendant des plombes pour m'envoyer à moi-même des bouquins avec de jolis timbres sur l'enveloppe juste pour faire ma maligne sur le net !)
Voici donc la Potiron's scarf made in South Luberon (sans accent sur le e si vous voulez rester copains avec les gens du coin ), et aux couleurs de l'été, of course :
et pas de raison que je ne vous la montre pas sous toutes les coutures, alors bis repetitas :
Modèle cent pour cent Clotho, très facile mais un peu long. Association de grannies minus (toy size, lilliput size, petits petits, small, very very, avec l'accent d'Arafat s'il vous plaît) assemblés par bandes, et rangs de brides avec pois-chiches, boules, nopes, appelez ça comme vous voudrez, garbanzos caramba !
Crochet 1,5 pour rester souple, deux fils de coton égyptien pris ensemble... fils trouvés à Sienne (oui, oui, pendant les vacances de Pâques), dans une boutique vieillotte près de San Domenico, Santa Catarina (vous voyez la tête de BernieGloubiBoulga quand il a fallu rapporter en plus des farfalle, linguine, tagliatelle et salsa arrabiata un gros sac de ... cônes -j'hésite à le dire, p'tite soeur va encore me sortir un bon mot !-)
Mais, foi de Clotho, la prochaine fois j'ose le délire et "je me lâche" comme disent les djeunes ! (Et je ne vous dis pas comme je me suis marrée en essayant de voir tout ce que cela pouvait donner si je le traduisais en espagnol !!!)