contes à dormir debout - cuentos de nunca acabar
... un peu comme des points qui n'en finissent jamais, voilà pourquoi ce silence qui ne signifie en rien un long sommeil en attendant la visite de plus en plus improbable d'un prince qui risque d'être plus chevrotant que charmant...
Décidée à me couvrir moi-même de fleurs avant les mois de sécheresse, j'ai donc fait quelques cueillettes qui vont au plus simple :
J'ai testé un autre filet en calculant cette fois la quantité de laine : il faut bien 1200 mètres de lace pour le filet et 200m de chaque couleur pour les fleurs
(les fleurs roses, sur le même modèle, sont pour un projet un peu différent qui sera montré plus tard)
Je disais donc : des points, des petits points, mais de ravaudage, et d'un ravaudage qui n'en finit pas, pour un travail que je voudrais d'envergure mais que je cache encore. Pour l'instant, juste ceci qui me rappelle furieusement l'imagerie des contes de mon enfance, souvenez-vous, lorsque le Bon Petit Diable montre ses fesses à la mère Mac'Mich, chez la comtesse de Ségur... si j'osais... !
(et des zokins, il y en a encore et encore)