
A l'origine il y a des impressions, dans des sortes de limbes. Comme dans certaines de mes peintures.
Des couleurs qui se brouillent, des jaunes et des bleus, avec des touches de sang ou de cinabre. C'est imprécis. Valérie dit qu'on ne sait jamais quelle tournure ça va prendre... elle a raison.
Je pensais à Bonnard; encore et toujours. Mais c'était intenable tous ces petits carrés, ces demi-tons, ces miroitements.
Puis cela s'organise. Des fastes orientaux, sans doute, me reviennent en mémoire. Cela s'organise pourtant...
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