16 août 2014
mon chemin de Saint Jacques - mi camino de Santiago
Ô toi qui pleures parfois et ne peux oublier que tu n'as pas d'ailes... (Miguel Hernández) toi le pèlerin qui, de rage, de fatigue ou de désespoir, abandonnes tes grolles, tes pompes, tes godasses, même jusqu'au fond de l'eau (si si, regarde bien, lecteur...