printemps d'antan - primavera remota -pero sin esquina rota-
Clotho repose sa tête mais pas ses doigts... ceux-là marchent tout seuls à ce qu'il semble, et les voilà, les doigts, qui, comme Rossinante dès qu'on lui lâche la bride, font drôle d'usage de leur liberté et retournent bêtement à l'écurie, autrement dit aux sources. Moralité, devant les sources, ne jamais dire "fontaine je ne boirai pas de ton eau", sous peine de crever de soif : il y a peu, j'aurais juré solennellement que je ne ferais jamais de "old grannies" (pff... tu parles, c'est trop ringard). Et puis... et puis... il y avait quelques réserves à épuiser dans les cotons de toutes sortes. Et puis... et puis... il y avait encore un très gros cône de Valérie. Et puis, et puis... pas question de réfléchir trop longtemps aux couleurs, aux motifs, au montage. Baah, c'est pas du Clotho, ça... ah bon ? et pourquoi pas ?
Alors, en cours, voilà du bon vieux old sans chichi, à la va-comme-j'te-pousse sur l'herbe de mon jardin, avec l'idée d'utiliser tout le cône de coton écru. Il fournit donc un rang sur deux :
Ouh ouh ! Psst, c'est pas fini !
Avant de prendre quelques vacances andalouses (si Rossinante nous mène jusque-là...), j'ai encore une petite chose à vous dire : passez donc chez notre amie BINOO , elle fête ces jours-ci le premier anniversaire de son blog, et il y a des surprises à gagner.